Le nombre d’espèces non indigènes nouvellement introduites dans le milieu naturel par le biais des activités humaines constituent l’un des critères de définition du bon état écologique du descripteur 2 relatif au espèces non indigènes dans le cadre de la DCSMM (D2C1). Le bon état écologique pour ce critère est atteint lorsque la fréquence et l'intensité des nouvelles introductions d'espèces non indigènes, par le biais des activités humaines, sont réduites à un niveau minimum
L'unité de mesure utilisée pour ce critère est le nombre d'espèces nouvellement introduites au cours de la période d'évaluation (six ans) par zone évaluée.
Les unités géographiques d’évaluation sont les sous-régions marines de la DCSMM.
Les données sont présentées sous forme de fichiers géoréférencés de type shapefile.
Au total, 34 nouvelles espèces non indigènes ont été signalées, dont 13 en Manche Mer du Nord, 7 en Mers Celtiques, 7 dans la partie nord et 8 dans la partie sud du Golfe de Gascogne, et 9 en Méditerranée Occidentale.
Le nombre d’espèces non indigènes nouvellement introduites dans le milieu naturel par le biais des activités humaines constituent l’un des critères de définition du bon état écologique du descripteur 2 relatif au espèces non indigènes dans le cadre de la DCSMM (D2C1). Le bon état écologique pour ce critère est atteint lorsque la fréquence et l'intensité des nouvelles introductions d'espèces non indigènes, par le biais des activités humaines, sont réduites à un niveau minimum
L'unité de mesure utilisée pour ce critère est le nombre d'espèces nouvellement introduites au cours de la période d'évaluation (six ans) par zone évaluée.
Les unités géographiques d’évaluation sont les sous-régions marines de la DCSMM.
Les données sont présentées sous forme de fichiers géoréférencés de type shapefile.
Au total, 34 nouvelles espèces non indigènes ont été signalées, dont 13 en Manche Mer du Nord, 7 en Mers Celtiques, 7 dans la partie nord et 8 dans la partie sud du Golfe de Gascogne, et 9 en Méditerranée Occidentale.